La capitale romaine, si majestueuse, ne méritait pas pareil traitement ... mais bon, c'est le jeu !
Pour le crayon de menuisier et le pastel gras, qui sont à la fois outil et médium, ils ne peuvent que se juxtaposer, utilisés séparément.
Pour rester dans les métiers du bois, j'ai choisi de remplacer le pastel gras par ce qu'on appelle un crayon de forestier (ou de bûcheron) et qu'on trouve dans les grands magasins de bricolage. Il se taille facilement en biseau avec un couteau ou cutter, l'inconvénient étant qu'il faut répéter souvent l'opération.
Pour ce premier exercice, ne connaissant pas bien la capitale romaine, je me suis d'abord entrainée à faire pivoter le crayon entre les doigts pour faire les empattements.
J'ai ensuite simplement réduit la hauteur des lettres pour changer la proportion et donner l'impression d'écrasement.
Je vais continuer à m'exercer. Déjà une petite idée émerge ...
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